Il faut reconnaître, aussi douloureux que cela puisse l’être, que le divorce est d’abord un acte légal qui s’oppose à la vision idyllique de l’amour éternel ; il rappelle sans ménagement et de façon désabusée que toute chose a une fin et que la loi se doit d’encadrer autant la fin que le début de toute disposition qui modifie la société à son échelle la plus petite qu’est la famille.

Il faut reconnaître, aussi douloureux que cela puisse l’être, que le divorce est d’abord un acte légal qui s’oppose à la vision idyllique de l’amour éternel ; il rappelle sans ménagement et de façon désabusée que toute chose a une fin et que la loi se doit d’encadrer autant la fin que le début de toute disposition qui modifie la société à son échelle la plus petite qu’est la famille.

En France, l’INSEE annonçait en 2016 par exemple que 44% des mariages se solderaient tôt ou tard par un divorce, mais aussi qu’un mariage sur quatre était un remariage pour au moins l’un des conjoints. C’est donc un important problème de société qu’entend régler le divorce : celui de faire recouvrir à des partenaires engagés l’un à côté de l’autre par la fidélité absolue (le plus souvent), dans une synergie d’action pour la construction d’un idéal de vie de couple voire familial.

Après que l’on se soit aimé et lorsqu’on est convaincu qu’il n’y a d’autre avenir pour le couple que dans la dissolution du lien sacré de mariage, chacun des partis entend s’offrir le divorce le plus avantageux. La question de la réussite d’un divorce est à la limite subjective puisque la réussite revêt divers aspects d’un individu et d’un couple à l’autre. La nature d’un divorce peut cependant déterminer s’il faudra se remettre d'une rupture difficile ou non, puisque la séparation peut être acrimonieuse, ajoutant à la peine de la rupture, la frustration et la déception de coup-bas financiers et émotionnels. En aparté, vous pouvez consultez comment se remettre d'une rupture douloureuse dans cet article. Autant donc bien le conduire. Généralement, il est admis qu’un divorce réussi est celui se fait dans une ambiance bon enfant sans animosité, il est celui qui fait bénéficier des meilleurs avantages financiers et immobiliers possibles qui pourraient en découler, et pour finir qui donne aussi le plus de droits sur les membres de la famille (garde des enfants par exemple).

Il n’y a de justice que d’avocat

Malgré l’indépendance de la justice dans les pays démocratiques tels que la France, la Suisse et autres pays d’Europe et d’Amérique du Nord, il n’est un secret pour personne que la justice est aujourd’hui fonction intrinsèque de la qualité des personnes qui l’animent. Pour avoir la réussite escomptée dans votre divorce, attachez -vous en premier les services de l’avocat qui paraît le plus à même d’aller la ravir pour vous. En France, il est obligatoire de se faire représenter par un avocat dans une procédure de divorce. Si toutefois votre futur ex-conjoint et vous avez opté pour un divorce des moins conflictuels, vous pouvez vous contenter d’un même avocat qui prendra en compte les intérêts des deux partis.

Quoi qu’il en soit, les succès passés de l’homme devant défendre vos intérêts sont à prendre en compte ; plus encore, vous devrez tenir compte de la vélocité de l’individu. La vélocité témoigne de ce que la volonté de gagner de votre avocat le poussera à anticiper, à acculer au besoin et ne pas faire de concessions inutilement préjudiciables. La marque des avocats sur les procès est telle que Charles Dumercy écrira que “l’avocat crée le procès à son image”.  

Outre les qualités individuelles de votre avocat dans un divorce, son expérience et sa parfaite connaissance du droit du divorce dans le(s) pays où le mariage a droit d’être dissolu.

Faire davantage attention aux proches

Lorsque les membres d’un couple se séparent, la personne qui est abandonnée peut devoir trouver une réponse à une question récurrente, comment ne plus penser à quelqu’un que l’on aime. Néanmoins, généralement, ce n’est pas tant pour les deux conjoints que le divorce est une épreuve, mais pour leurs proches. Ce sont eux qui peuvent de leurs actions ou paroles rendre pénible la procédure. Ce sont les proches qui travaillent avec ou contre vous. Pour un divorce réussi, il faut prendre la peine de préparer longtemps avant les premières actions légales les esprits de vos enfants, parents, amis du couple...etc.

L’erreur généralement commise par les partis au divorce est d’entrer dans une compétition pour gagner la sympathie des proches aux dépens de l’autre conjoint ; cette approche peut s’avérer en effet payante, mais elle ne correspond pas l’idéal, celui d’un divorce apaisé.

Plutôt que cette course qui pourrait laisser bien de séquelles psychologiques et détruire l’estime de vos enfants ou proches pour votre conjoint, vous pouvez d’un commun accord, informer les concernés, en gardant un maximum de vos habitudes que vous aviez en partage avec le futur ex. Il s’agit de passer sainement du temps avec l’ex afin d’envoyer un signal fort de paix et d’amour aux proches. Certes, trop de proximité pourrait pousser vos enfants ou proches à vous dissuader d’aller au bout du divorce et leur compliquer la tâche d’une acceptation.

La recherche des intérêts plutôt que celle des torts

Le contexte du divorce est le principal facteur d’ignition qui entrave toutes chances d’un divorce apaisé ; c’est lui d’ailleurs qui sous-tend toute la procédure. C’est donc à juste titre que le contexte du divorce oppose plus ou moins violemment les deux partis selon sa nature. Le contexte est également déterminant dans la prédisposition des proches à travailler à un divorce réussi ou non.

Par contexte nous entendons les raisons et circonstances du divorce (divorce pour faute, divorce par consentement mutuel, divorce sur demande acceptée, divorce pour altération du lien conjugal pour les époux séparés depuis plus de deux ans...etc.).

Quel qu’il soit, il revient aux deux époux de présenter ce contexte de façon saine pour que les proches ne soient pas obnubilés par la nécessité vengeresse d’accabler l’un plutôt que l’autre.